Perturbations électromagnétiques

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Perturbations électromagnétiques : un impact constant


Notre quotidien nous confronte à des sources électromagnétiques indésirables de manière permanente. Chaque être vivant fonctionne grâce à une énergie vitale appelé Qi, dont les fluctuations peuvent être influencées par des perturbations environnementales ou électromagnétiques pouvant nuire aux fonctions vitales.



La toxicité des émissions électromagnétiques


Les préoccupations concernant la toxicité des émissions électromagnétiques sont nombreuses : téléphones mobiles, antennes-relais, Wi-Fi, DECT (téléphones sans fil domestiques), Bluetooth, et micro-ondes. Une évaluation objective de la situation est essentielle, loin des implications financières qui, trop souvent, masquent la vérité.



Les ordinateurs ont été les premiers appareils pointés du doigt après l’apparition de divers troubles chez leurs utilisateurs. C’est ainsi qu’une législation limitant leur utilisation dans le milieu professionnel a été instaurée dès mai 1991. Par ailleurs, nous utilisons également des appareils à très hautes fréquences, comme les fours à micro-ondes et les téléphones portables, fonctionnant dans les gigahertz, ce qui signifie une énergie très puissante. Ces téléphones interfèrent avec les dispositifs médicaux comme les stimulateurs cardiaques et perturbent les systèmes informatiques dans les avions et les centres médicaux. En Australie, une augmentation de 50 % des tumeurs cérébrales chez les hommes et de 62,5 % chez les femmes a été constatée. Actuellement, une vaste étude regroupant des pays tels que la France, l’Italie, le Royaume-Uni et d’autres, est en cours.



Les ondes Wi-Fi et l’impact des ampoules à basse consommation


Les appareils tels que les box Wi-Fi émettent des radiations à 2V/m, bien que les ampoules basse consommation ne soient pas identiques en termes d’émissions. Ces dernières n’utilisent pas d’ondes micro-ondes pulsées mais des ELF, classées comme potentiellement cancérigènes par l’OMS en 2002.

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Les ampoules à basse consommation représentent un problème similaire, tandis que le Wi-Fi émet des données numériques pulsées à très basses fréquences sur une porteuse micro-ondes, à environ 2400 Mhz. Cela mène à des effets néfastes comme le stress oxydatif, connu sous le nom de « Syndrome des Micro-ondes », rapporté par la médecine militaire depuis les années 1960. Des recherches récentes indiquent une détérioration de la qualité des spermatozoïdes, des problèmes de mémoire, un surcroît de risques de maladies comme Alzheimer, des leucémies et divers cancers.



Antenne-relais et effets cumulés


Les antennes relais, en dépit des préoccupations sur leurs effets athermiques cumulés, continuent d’être mises en place par l’industrie. Une observation importante reste qu’une exposition constante à 1V/m pendant 24 heures n’est pas moins dangereuse qu’un contact ponctuel à 15V/m pendant un court moment. Il est impératif de multiplier les antennes pour atteindre des seuils de réception plus faibles. Cela entraînera une diminution de l’intensité à laquelle les téléphones émettent, surtout lorsque les antennes se trouvent à proximité.



Normes et recommandations


La littérature scientifique regorge d’études publiées démontrant les effets biologiques de la téléphonie mobile. Des militaires autrefois touchés par des maladies liées à l’électromagnétisme perçoivent des pensions pour ces maladies, alors que la téléphonie mobile demeure contestée.



De plus, l’OMS, l’AFSSET, et plusieurs autres organisations recommandent de réduire les niveaux d’émission en raison des preuves incontestables sur la santé des champs électromagnétiques. Les ondes 3G, à titre d’exemple, ont été qualifiées de très génotoxiques par une étude européenne en 2004.

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La santé et les risques associés


Les normes d’électromagnétisme en France varient considérablement. Une exposition à 20 fois moins d’intensité pendant une longue période peut être plus néfaste qu’une exposition ponctuelle à 20 fois plus. L’effet cumulatif des perturbations révèle que même lorsque la source n’est plus présente, les dommages persistent. Les signaux ne se contentent pas d’apporter de l’énergie, mais déclenchent également une série d’événements biochimiques.



Impact sur les végétaux et l’être humain


Des expériences ont même montré les effets nocifs du Wi-Fi sur la germination de cresson, les plants exposés ayant peu germé par rapport à ceux non exposés. Au niveau cellulaire, les perturbations électromagnétiques peuvent modifier le flux d’ions calciques, nouant des effets sur divers processus physiologiques.



Conseils pratiques pour limiter les risques



  • Utiliser un téléphone fixe plutôt qu’un mobile.

  • Eviter de porter un téléphone dans la poche ou sous l’oreiller.

  • Limiter le temps d’appel avec un portable.

  • Préférer des connexions par câble plutôt que Wi-Fi.



En résumé, ces précautions peuvent contribuer à une utilisation plus sûre des technologies modernes tout en préservant notre santé.



Sources et études


Pour des informations complémentaires, des rapports comme le BioInitiative et les études sur le cancer en lien avec l’environnement sont disponibles afin d’éclairer davantage sur ce sujet sensible.

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